Category / Artificial imagination / Extinction / Fiction / Dislocation of the ruins / Hyperproduction / Installation / Infinite landscape / Video

September 11, 2001 marked a historic turning point. Since the collapse of the World Trade Center, ruins have been haunting our imagination. The history of this aesthetic of the ruins is old and now finds a new topicality. The artist has studied this dislocation by slowing down his speed through 3D simulations. He is interested in the loss of data from hard disks and in architectural plans providing for destruction. By exploring the chaos of destruction, these images help us understand that ruins are a cultural genetic code in the West by which we constantly stage and produce our extinction.
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Le 11 septembre 2001 a marqué un tournant historique. Depuis l’effondrement du World Trade Center, les ruines ne cessent de hanter notre imaginaire. L’histoire de cette esthétique des ruines est ancienne et trouve maintenant une nouvelle actualité. L’artiste s’est penché sur cette dislocation en ralentissant sa vitesse par des simulations en 3 D. Il s’est intéressé à la perte de données des disques durs et à des plans d’architecture prévoyant des destructions. En explorant le chaos de la destruction, ces images permettent de comprendre que les ruines sont un code génétique culturel en Occident par lequel nous ne cessons de mettre en scène et de produire notre extinction.