Les limites du pragmatisme
« Il existe deux sortes de mondes possibles dans lesquels une expérience esthétique ne pourrait se produire. Dans un monde où tout n’est que flux, le changement ne serait pas un processus cumulatif et ne tendrait vers aucun terme. Il n’y aurait ni stabilité, ni repos. »
(John Dewey, (2005), L’art comme expérience, Œuvres philosophiques III, traduit de l’anglais (USA) par Jean-Pierre Cometti, Christoph Domino, Fabienne Gaspari, Catherine Mari, Nancy Murzilli, Claude Pichevin, Jean Piwnica et Gilles Tiberghien, Préface de Richard Shusterman et Postface de Stewart Buettner, Publications de l’Université de Pau, Éditions Farrago, p.36)