Ce texte interroge la possibilité d’une critique nuancée de l’art contemporain évitant tant le rejet réactionnaire que l’adhésion acritique. Proposant l’historicisation des pratiques et l’analyse des structures institutionnelles comme méthodes, il explore la tension entre geste disruptif et normalisation, invitant à distinguer reprises créatrices et formules vides.
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